Quelques suggestions. Si le projet n’a pas déjà été arrêté et si sa réussite compte vraiment pour vous.
Interroger la hiérarchie ou le commanditaire sur le niveau de priorité donné au projet dans la crise
• Le cas échéant, (faire) adapter les objectifs pour 2020
Prendre le temps de questionner individuellement les (principaux) acteurs du projet sur leur implication (ils peuvent avoir été affectés à d’autres missions) et leur degré de motivation
Poser les principes et les règles du fonctionnement à distance
• Ex : un jour sans réunion par semaine, prise de parole et écoute dans les visios…
• En profiter mieux préparer vos réunions, et pour suggérer à quelques-uns des améliorations dans les transferts d’information, la circulation et la mise au point collaborative des documents…
Faire des points globaux de pilotage plus fréquents
• Ex : passer d’une fois par mois à une fois par quinzaine
Idem pour la programmation budgétaire
• Surtout pour un volet Recettes
Distinguer plus nettement la hiérarchie des priorités d’action
• A partir d’une analyse plus fine des risques / les objectifs terminaux et de 2020
• Arrêté, suspendu, retardé, maintenu, accéléré…
A la sortie : il vaut mieux ne pas faire comme s’il ne s’était rien passé
• faire un point très complet et très précis
– dans toutes les dimensions du projet
• si possible, dresser la liste des inconvénients et avantages apportés par la crise
– sélectionner les améliorations à apporter dans le management du projet
– les partager pour les mettre en œuvre
• remercier tout le monde
• lancer un travail bref mais approfondi d’évolution ou de repartage des finalités et des objectifs du projet
– ajuster son périmètre et son planning en conséquence
– voire sa gouvernance
• organiser un re-kickoff
– pro et un peu joyeux
• fixer très vite le premier point de pilotage régulier
